Ébouriffante illustration d'un journalisme de révérence à la française qui ne sait plus où donner de la langue pour lécher frénétiquement tous les pouvoirs, tare intellectuelle ambulante dont le demi-cerveau n'en finit plus de clapoter contre ses parois crâniennes en produisant des floc-floc de liquide cépahalo-rachidien anémié à force de probables tares congénitales - qui font soupçonner un lourd héritage consanguin dans sa famille -, créature au physique aussi ingrat et débile que la purée froide idéologique qui s'échappe malencontreusement d'une bouche qu'on rêverait de coudre avec un fil de pêche et une très grosse aiguille, maigrichon hystérique dans la droite lignée des Eric Zemmour et autres réactionnaires crapoteux, tous incapables physiquement de dominer un teckel mais qui rêvent de cette Force et de ce Courage dont ils sont bien incapables tant ils sont lâches et couards - et donc, réactionnaires, puisque le réac est fondamentalement veule, c'est dans sa nature profonde -, encore plus ridicule de snobisme achevé que toute la rédaction de précieuses ridicules alcooliques qui s'épanchent dans Causeur, tout aussi demeuré et baveux qu'un Ivan Rioufol - même si ce dernier est atteint de rares pathologies mentales qui devraient charitablement lui valoir de massives injections de neuroleptiques directement dans la jugulaire, avant que de le jeter dans une jolie cellule dont il pourra bouffer les murs en hululant que les islamogauchistes lui grouillent sous la peau -, parfait produit de la pensée unique qui passe sont temps à verser toutes les larmes de son petit corps frêle sur l'immobilisme à la française et la nécessité de se serrer la ceinture avant d'aller déguster force canards aux pêches le petit doigt levé dans de dispendieux restaurant dont la carte coûte un SMIC, Christophe Barbier est journaliste et n'a t-on pas tout dit en le qualifiant ainsi ?
Élevé au lait tourné du néolibéralisme le plus frénétique, Christophe Barbier veut voir du privé partout. Bien, le privé. Mal, le public. Et comme tout de même le privé c'est un peu, un tout petit peu, plus cher que le public - vu que c'est, précisément, privé - il trépigne ici que tout doit être fait pour que l'éducation nationale - et ses profs gauchistes qui font chier à faire grève - disparaisse à tout jamais pour que les chères têtes blondes deviennent compétitives dans un privé qui ô joie continuera d'être joyeusement subventionné par les deniers publics...
Car le libéral n'en finit jamais de vomir à longs jets sur le public, mais n'oublie jamais après de lui réclamer des thunes, bien incapable qu'il est de se démerder tout seul avec la loi du Joli Marché Qui Rend Heureux Christophe Barbier. Le libéral a aussi une mémoire très sélective qui lui fait oublier que la situation de l'Éducation nationale - qu'il n'en finit jamais de déplorer - est due à trente années de réductions d'effectifs et de casse systématique du service public par les soins de ses écœurants semblables. Non, cela, le libéral n'en parlera jamais, pas plus qu'il ne mettra en exergue que l'une des raisons majeures de vendre le public au privé est une question idéologique : casser le bastion de la gauche pour fourrer de la merde dans les têtes des gamins qui ne sont pas encore assez détruits par la propagande des amis de Christophe barbier. Lesquels amis, à l'instar de, justement, Christophe Barbier, vont encore se répandre sur tous les plateaux-télé et tous les éditoriaux pour pleurer ouin ouin ouin leur terrible souffrance de vivre en Bolchévie totalitaire qui musèleflorentpagnesque liberté de penser (de noires conneries).
Si on était un peu méchant, on en rêverait presque de voir Christophe Barbier pendu par les pieds avec son écharpe pendant que des écoliers hilares lui jetteraient des cailloux pointus au visage sous l'oeil attendri de leur maîtresse. Mais heureusement, on est dans le camp du Bien, et c'est nous les plus Gentils. On se contentera donc de prendre Christophe Barbier pour ce qu'il est : un grand vide à l'intérieur qui produit du rien à l'extérieur. Même si ça, c'est déjà beaucoup, beaucoup trop.
Élevé au lait tourné du néolibéralisme le plus frénétique, Christophe Barbier veut voir du privé partout. Bien, le privé. Mal, le public. Et comme tout de même le privé c'est un peu, un tout petit peu, plus cher que le public - vu que c'est, précisément, privé - il trépigne ici que tout doit être fait pour que l'éducation nationale - et ses profs gauchistes qui font chier à faire grève - disparaisse à tout jamais pour que les chères têtes blondes deviennent compétitives dans un privé qui ô joie continuera d'être joyeusement subventionné par les deniers publics...
Car le libéral n'en finit jamais de vomir à longs jets sur le public, mais n'oublie jamais après de lui réclamer des thunes, bien incapable qu'il est de se démerder tout seul avec la loi du Joli Marché Qui Rend Heureux Christophe Barbier. Le libéral a aussi une mémoire très sélective qui lui fait oublier que la situation de l'Éducation nationale - qu'il n'en finit jamais de déplorer - est due à trente années de réductions d'effectifs et de casse systématique du service public par les soins de ses écœurants semblables. Non, cela, le libéral n'en parlera jamais, pas plus qu'il ne mettra en exergue que l'une des raisons majeures de vendre le public au privé est une question idéologique : casser le bastion de la gauche pour fourrer de la merde dans les têtes des gamins qui ne sont pas encore assez détruits par la propagande des amis de Christophe barbier. Lesquels amis, à l'instar de, justement, Christophe Barbier, vont encore se répandre sur tous les plateaux-télé et tous les éditoriaux pour pleurer ouin ouin ouin leur terrible souffrance de vivre en Bolchévie totalitaire qui musèleflorentpagnesque liberté de penser (de noires conneries).
Si on était un peu méchant, on en rêverait presque de voir Christophe Barbier pendu par les pieds avec son écharpe pendant que des écoliers hilares lui jetteraient des cailloux pointus au visage sous l'oeil attendri de leur maîtresse. Mais heureusement, on est dans le camp du Bien, et c'est nous les plus Gentils. On se contentera donc de prendre Christophe Barbier pour ce qu'il est : un grand vide à l'intérieur qui produit du rien à l'extérieur. Même si ça, c'est déjà beaucoup, beaucoup trop.
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